Le Petit Palais s’associe au Palais Galliera pour présenter la toute première exposition parisienne consacrée au créateur de mode anglais Charles Frederick Worth (1825-1895).
Le Petit Palais sort de ses réserves des dessins de bijoux et quelques pièces de haute joaillerie pour mettre en valeur son fonds d’art graphique, autour de la thématique des techniques de création à partir du milieu du XIXe siècle.
Le Petit Palais présente la première exposition monographique en France consacrée à l’ensemble de la carrière de Jusepe de Ribera (1591-1652). Un peintre espagnol qui a fait carrière à Rome puis à Naples, surnommé « l’enfant terrible du Caravage », pour son côté plus sombre et féroce que son aîné italien (1571-1610).
Le Petit Palais ouvre le troisième volet de sa programmation consacrée aux artistes suédois en présentant l’oeuvre de Bruno Liljefors (après Carl Larsson et Anders Zorn). Son oeuvre est centrée sur la représentation de la nature sauvage suédoise, qu’il interprète en faisant une synthèse du romantisme et du japonisme.
Bruno Liljefors, Paysage d’hiver aux bouvreuils pivoine, 1891. Huile sur toile. Collection privée
Petit Palais, avenue Winston Churchill, Paris 8ème Entrée libre
La Galerie Itinerrance (Paris, 13ème) s’est associée au Petit Palais pour orchestrer une exposition de street art gratuite, au sein du musée des beaux-arts de la ville de Paris. Une initiative à honorer !
Le Petit Palais met en valeur une cinquantaine d’oeuvres de ses collections, choisies par des athlètes et para-athlètes pour leur lien entre art et sport.
Le Petit Palais présente son troisième volet de sa trilogie consacrée au Paris du début du XXe siècle avec « Le Paris de la modernité, 1905-1925 ». Il montre comment les progrès techniques imprègnent tous les pans de la société, de la mode aux arts.
Le Petit Palais consacre une exposition à son impressionnante collection d’estampes composée de 20.000 oeuvres, dont 200 trésors sont ici présentés, offrant un large panorama du XVe au XXe siècle.
À l’occasion du centenaire de la mort de Sarah Bernhardt (1844-1923), le Petit Palais lui consacre une exposition d’envergure – 400 oeuvres réunies – sur les multiples facettes de sa personnalité et de son art.
Le Petit Palais présente l’oeuvre de l’artiste anglais Walter Sickert (1860-1942), peu présent dans les collections françaises, et donc peu connu de ce côté-ci de la Manche. Il fut pourtant un grand ami de Degas et influença chez lui Lucian Freund ou Francis Bacon.
Le Petit Palais met à l’honneur l’oeuvre d’André Devambez (1867-1944), artiste parisien de la Belle-Époque, célébré de son temps mais tombé dans l’oubli depuis. Son travail révèle un illustrateur à l’imagination foisonnante et un peintre sensible, traitant aussi bien des portraits intimes que la modernité du 20e siècle ou l’horreur de la Grande Guerre.
Le Petit Palais rend hommage à Giovanni Boldini (1842-1931), qui a fait carrière à Paris au tournant du 20e siècle. Excellent portraitiste, l’artiste sait également rendre l’effervescence et la modernité de la Ville des Lumières.
Lumière de l’eau métallique et portraits minutieusement dressés caractérisent l’oeuvre d’Albert Edelfelt (1854-1905), peintre finlandais ayant fait carrière à Paris. Le Petit Palais lui rend hommage, dans la lignée de sa redécouverte des maîtres nordiques.
Peu connu en France, pourtant réputé internationalement dans le monde de l’art au 19e siècle, Ilya Répine bénéficie d’une grande rétrospective au Petit Palais. Découvrez le « Tolstoï de la peinture »!
Ilya Répine, Portrait de Youri Répine enfant, 1882. Galerie nationale Trétiakov, Moscou
Petit Palais, avenue Winston Churchill, Paris 8e. Entrée libre et gratuite (y compris pour cette exposition)
#ExpoRouart
Jean-Marie Rouart, écrivain, nommé à l’Académie française, vient de léguer au Petit Palais (sous réserve d’usufruit) douze oeuvres peintes par son père Augustin Rouart (1907-1997), ses arrières-grand-pères Henri Rouart (1833-1912) et Henry Lerolle (1848-1929), ainsi qu’une toile de Maurice Denis. L’ensemble est confronté à une série d’oeuvres issues de la collection permanente du Petit Palais et à une quinzaine de prêts.
Augustin Rouart, Lagrimas y Penas, 1943 Crédit : Philippe Fuzeau
Le Petit Palais expose des artistes de l’âge d’or de la peinture danoise (1801-1864), célébrés dans leur pays mais peu connus en France. Des oeuvres délicates où la lumière et la nature sont choyées. Espérons que le musée rouvrira début janvier car l’exposition ne sera pas prolongée au-delà du 17/01, selon un communiqué du Petit Palais…
Première nouvelle exposition depuis le confinement, quel plaisir ! Surtout lorsque l’on découvre la quasi totalité de la collection de dessins de Véronique et Louis-Antoine Prat, ancien chargé de mission et enseignant à l’Ecole du Louvre.
Prud’hon, Psyché enlevée par les Zéphyrs, XIXe siècle. Pierre noire, réhauts de blanc sur papier bleu. Collection Prat. Crédit : StudioLire la suite →
Le Petit Palais présente deux expositions en collaboration avec le musée de Capodimonte à Naples pour montrer l’importance de Vincenzo Gemito (1852-1929) et de Luca Giordano (1634-1705) – presque inconnus en France – dans l’histoire de l’art italien et espagnol. Une très belle (re)découverte.
Le Petit Palais s’associe au musée de la Vie romantique pour exposer la période romantique à Paris. Après « Paris 1900, la Ville Spectacle« , le Petit Palais présente une autre grande période fondatrice de l’identité de la capitale. Si je n’avais pas apprécié la première exposition, j’ai adoré celle-ci !
Eugène Lami, Scène de carnaval, place de la Concorde, 1834. Huile sur toile. Paris, musée Carnavalet – Photo Musée Carnavalet / Roger-Viollet
Le Petit Palais consacre une rétrospective au peintre belge Fernand Khnopff (1858-1921). Un des maîtres du symbolisme européen, proche des préraphaélites Edward Burnes-Jones (1833-1898) et Dante Gabriel Rosetti (1828-1882) ou de Gustav Klimt (1862-1918). Mais sa peinture imaginative et rêveuse revêt une dimension encore plus mystérieuse que chez ses contemporains.
Le Petit Palais présente un ensemble de peintures sur soie de Ito Jakuchu (1716-1800), exceptionnellement prêtées par le musée impérial de Tokyo pour un mois en raison de la fragilité des oeuvres. Cette exposition s’inscrit dans le cycle Japonisme 2018, célébré partout en France, pour honorer les 160 ans d’amitié entre la France et le Japon.
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