Bien que surnommé le « roi de la mode » par les Américains, et considéré comme le libérateur du carcan féminin, Paul Poiret (1879-1944) reste une figure méconnue du grand public. Le Musée des Arts décoratifs lui consacre sa première monographie.
Deux nouveautés occupent les galeries côté Tuileries du musée des Arts décoratifs : l’ouverture d’un petit cabinet extra mignon consacré aux dessins, papiers peints et photographies avec un focus sur le décorateur Jacques-Émile Ruhlmann. Et une exposition sur le style Rococo, caractéristique du début du XVIIIe, qui a été re-interprété de l’Art nouveau à nos jours avec des créations originales de Jean Royère, Mathieu Lehanneur, Vivienne Westwood, Cindy Sherman ou encore Pierre Renart.
Une scénographie époustouflante pour des pièces d’orfèvrerie renversantes. C’est ce que propose le Musée des Arts décoratifs dans ses galeries habituellement dédiées à la mode. L’exposition revient sur le savoir-faire de la maison française, renommée dans le monde entier depuis près de deux cents ans.
Le musée des Arts décoratifs dévoile l’intime, de la chambre à coucher aux réseaux sociaux, du XVIIIe siècle à nos jours. Diversité des oeuvres, des sections thématiques ; un parcours foisonnant qui interroge la notion de soi aujourd’hui.
Le musée des Arts décoratifs présente une centaine de pièces haute couture réalisées par la créatrice néerlandaise Iris van Herpen (née en 1984), pionnière dans l’utilisation des nouvelles technologies dans la mode. Elle apporte au vêtement une approche visionnaire, à la fois futuriste et tournée vers le naturel.
Warren du Preez et Nick Thornton Jones pour Iris van Herpen — Robe Cosmica, en collaboration avec Kim Keever (impression), Collection «Shift Souls», 2019. Collection privée Iris van Herpen
Emblème de la table en Asie, le bol est à l’honneur du musée des arts décoratifs. Le public est invité à traverser trois étages pour découvrir ses différentes matières, formes, et origines géographiques, du XIIIe au XXIe siècle.
Bol, Lee Chum HO (né en 1956). Taïwan, 2018 (c) Les Arts décoratifs / Photo : Christophe Dellière
Musée des Arts décoratifs, 107 rue de Rivoli (entrée côté carrousel du Louvre le temps des travaux), Paris 1er
Le Musée des Arts décoratifs expose dans la nef quelque 700 objets (mobilier, silhouettes de mode, affiches, photographies, disques, etc.), pour illustrer le grand tournant des années 1980, encadrées par l’élection de F. Mitterand et la chute du mur de Berlin. Un succès !
L’univers surréaliste de la créatrice italienne Elsa Schiaparelli (Rome,1890 – Paris,1973) se dévoile au Musée des Arts Décoratifs (MAD). Entre goût du spectacle et fantaisie novatrice, l’oeuvre de Schiaparelli n’a jamais semblé si moderne !
Savoureuse petite exposition – simplement dans la nef du Musée des Arts Décoratifs – « Histoires naturelles » présente une sélection d’oeuvres majestueuses du couple d’artistes français Claude et François-Xavier Lalanne.
Que cette exposition était attendue ! Le Petit Prince d’Antoine d’Antoine de Saint-Exupéry (1900-1944.) est un incontournable de la littérature, dans toutes les langues ! Le Musée des Arts Décoratifs présente plus de 600 pièces autour de ce chef-d’oeuvre littéraire intemporel.
« Le beau au prix du laid », ça vous rappelle quelque chose ? C’était le letimotiv de Prisunic et, bien que l’enseigne ait fusionné avec Monoprix (1997) et qu’elle se soit repositionnée sur un créneau plus haut de gamme, la marque cherche toujours à rendre le design de la maison et de la mode plus accessible. Déambulation à travers les espaces du MAD pour découvrir ces objets aux couleurs iconiques, au son des caisses enregistreuses…
Le MAD Paris retrace les influences des arts de l’Islam sur la production de bijoux et objets précieux de la maison de haute joaillerie Cartier, du début du 20e siècle à nos jours. Splendeur des motifs orientaux et diamants éclatants, attention les yeux !
Qui ne connaît pas le parfum Angel dans son flacon bleu en cristal poli, en forme d’étoile (1992)? La création olfactive de Thierry Mugler (né en 1948 à Strasbourg) est devenue une icône. Ses modèles de couture aussi, comme le révèle le Musée des Arts Décoratifs de Paris (MAD), dans une scénographie aussi originale que les réalisations de cet artiste visionnaire.
Me voilà de retour au MAD ! Pour une exposition sur les créations de quarante artistes (designers, créateurs, graphistes et artisans), suivi.e.s pendant et après le confinement. Leurs oeuvres entrent en résonance avec les collections modernes et contemporaines du musée. Vertigineux !
Enfin un article sur une exposition ! Pour ce premier retour au musée, j’ai pu arpenter les salles du Musée des Arts Décoratifs pour une présentation inédite de son fonds de photographies. Un parcours édifiant, imaginé par un jeune commissaire passionné par son sujet, Sébastien Quéquet (attaché de conservation en charge des collections photographiques, département des Arts graphiques).
Le Musée des Arts Décoratifs (MAD) propose un voyage spatio-temporel autour d’une centaine d’oeuvres, offrant une sélection des meilleures créations artistiques depuis dix mille ans.
La marquise Arconati Visconti (1840-1923), héritière de l’une des plus grandes fortunes italiennes, a collectionné des oeuvres d’exception, qu’elle a ensuite cédées aux musés français, en particulier au Musée des Arts Décoratifs (MAD). Ce dernier lui rend hommage.
Le MAD présente son troisième volet (après « La Mécanique des dessous » en 2013 et « Tenue correcte exigée » en 2017) sur le rapport entre le corps et la mode avec un focus sur l’histoire de la chaussure. Accessoire aussi utile que stylé, le soulier révèle les évolutions de la société. Fascinant !
Le palais Manik Bagh (1930-1933), construit par l’architecte allemand Eckart Muthesius (1904-1989), est le tout premier bâtiment moderne indien. Il a été commandé par Yeshwant Rao Holkar II (1908-1961), plus connu sous le nom de maharajah d’Indore. Le MAD met en scène l’univers raffiné du dandy indien et de son épouse, mécènes des arts européens des années 1920/30.
Man Ray, Le maharajah d’Indore, vers 1927/30 (c) Man Ray 2015 Trust / Adagp Paris, 2019. Photo : Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Guy CarrardLire la suite →
Le MAD Paris consacre la première rétrospective à Antoon Krings, auteur-illustrateur des Drôles de Petites Bêtes. Une plongée dans l’univers merveilleux de l’enfance. Petits et grands se régalent de cette nature enchanteresse !
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