Première femme à oser peindre des nus masculins en grand format, Marie-Clémentine Valadon (1865-1938), dite Suzanne Valadon, a révolutionné l’histoire de l’art. Comme l’expose avec brio le Centre Pompidou.
Suzanne VALADON, Portrait de Mauricia Coquiot, 1915. Huile sur toile. Crédit Photo : Centre Pompidou, MNAM CCI/Philippe Migeat/ Dist. Grand-Palais-Rmn
La publication du Manifeste du Surréalisme d’André Breton marque la naissance de la longue aventure du Surréalisme (1924-1969). Le Centre Pompidou célèbre l’anniversaire du centenaire de ce mouvement à dimension littéraire, politique et internationale, d’une ampleur inégalée.
Dans le cadre de l’événement « La BD à tous les étages », le Centre Pompidou s’intéresse au mystérieux héros d’Hugo Pratt (1927-1995), Corto Maltese. Un personnage envoûtant.
Le Centre Pompidou présente une rétrospective de l’oeuvre de Constantin Brancusi (1876-1957). À 28 ans, l’artiste roumain traverse l’Europe à pied pour venir s’installer à Paris, centre d’effervescence culturel et artistique.
Le Centre Pompidou propose une histoire de la photographie autour de la thématique de la figure humaine grâce à la réunion des oeuvres de la collection du Musée national d’art moderne et celles du collectionneur privé Marin Karmitz.
Norman Foster est à la tête d’une agence d’architecture mondiale. À 87 ans, cet Anglais issu d’un milieu modeste, a conquis le monde avec des idées précurseurs sur le développement durable et l’architecture de demain. Le Centre Pompidou revient sur sa carrière, de Team Four Architects à Foster + Partners, qui emploie aujourd’hui 1500 collaborateurs à travers le monde.
C’est un immense hommage, la première au monde de ce genre, que le Centre Pompidou offre à Claudette Colvin (née en 1940, en Alabama, États-Unis), qui à l’âge de 15 ans, le 2 mars 1955, refuse de céder sa place dans un bus à une femme blanche, en pleine ère ségrégationniste. L’installation, à la croisée des arts numériques et du spectacle vivant, est stupéfiante.
Le Centre Pompidou dévoile les oeuvres méconnues de l’artiste indien S.H. Raza. Ses paysages abstraits, pétillants de couleurs et de matières, évoquent à la fois l’influence de l’École de Paris et son lien étroit avec sa terre natale.
S.H.Raza dans son atelier, Mumbai, 1948 Image courtesy of The Raza Archives, Raza Foundation, New Delhi
Le Centre Pompidou consacre la première grande rétrospective française à l’artiste américano-suisse Christian Marclay (né en 1955, vit à Londres). Si son oeuvre est peu connue dans l’Hexagone, gageons que cette exposition va le faire sortir de l’ombre tant son travail autour de l’univers sonore est original, vibrant, fascinant !
Dans le cadre de la saison France-Portugal, le Centre Pompidou accueille trois artistes de la génération de la Révolution des Oeillets (avril 1974) et leur consacre une exposition noirissime, conçue comme un labyrinthe au croisement de leurs quêtes artistiques.
Le Centre Pompidou propose un éclairage sur le courant de la Nouvelle Objectivité qui s’est développé en Allemagne après la Première Guerre mondiale. En réaction au sentiment d’humiliation liée à la défaite militaire, l’esthétique expressionniste est délaissée pour un idéal de standardisation, de l’effacement du Moi au profit des types normés. Des oeuvres surprenantes étayées par des cartels étonnamment très clairs !
Heinrich Hoerle, Autoportrait, circa 1931. Courtesy Bröhan Design Foundation, Berlin. Huile sur toile
Deux nouvelles expositions au Centre Pompidou, deux ambiances complètement différentes. Au niveau 6 du musée national d’art moderne est présentée une rétrospective de l’artiste allemand Georg Baselitz (né en 1938 près de Dresde) et au niveau 4 une salle est consacrée aux nouveaux travaux de Pierre Bismuth (né en 1963 à Neuilly-sur-Seine). La première est très sombre, la seconde ludique et inventive.
Inconnue en France, elle est l’une des plus grandes artistes américaines du 20e siècle ! Georgia O’Keefe (1887-1986) illumine de ses peintures lumineuses les cimaises du Centre Pompidou. Dans une scénographie sobre qui met particulièrement bien en valeur son style minimaliste mais original, à la frontière du naturalisme et de l’abstraction.
Centre Pompidou, Galerie 1 (niveau 6), Paris 4e #ExpoMatisse
Le Centre Pompidou rend hommage à Henri Matisse, né il y a 150 ans, avant-gardiste de l’art moderne et grand rival de Picasso. L’exposition retrace cinq décennies de recherches axées sur la conciliation entre le dessin, la peinture et la couleur.
Au Centre Pompidou, deux expositions devaient ouvrir avant le confinement. Elles ne seront finalement pas présentées à la réouverture du musée (prévue en juillet). Comme j’avais pu les voir lors du vernissage presse et qu’elles avaient retenu mon attention, j’en publie l’article. La première, « Chine <-> Afrique » questionne les relations sino-africaines à l’ère post-coloniale. La seconde nous fait découvrir l’art du dessinateur et peintre Wols (1913-1951), dont la plupart des oeuvres sont conservées en mains privées, rendant leur exposition d’autant plus précieuse.
Arts et sciences s’entremêlent dans la nouvelle exposition du Centre Pompidou, « Neurones, les intelligences simulées ». Les oeuvres s’appuient sur les dernières recherches de l’Intelligence Artificielle et du Deep Learning [apprentissage profond]. Fascinant !
Lu Yang, Hearse Delusional Mandale No.7, 2015. Courtesy of the artist Lu Yang and Société BerlinLire la suite →
Hans Hartung – La fabrique du geste Jusqu’au 1er mars 2020 Musée d’art moderne, 11 avenue du Président Wilson, Paris 16e
Soulages au Louvre et au Centre Pompidou Jusqu’au 9 mars 2020
Voici trois expositions d’art non-figuratif avec les oeuvres de Hans Hartung présentées au Musée d’art moderne et celles de Pierre Soulages (musée du Louvre et Centre Pompidou), qui fête ses cents ans cette année.
Centre Pompidou (entrée par la r. Beaubourg pendant les travaux), Paris 4e
Bernard Blistène (directeur du Musée national d’art moderne) a invité Christian Boltanski (né en 1944, à Paris) a exposé son travail, 35 ans après sa première rétrospective au Centre Pompidou.
Centre Pompidou, Galerie d’art graphique (niveau 4), Paris 4e
Le Centre Pompidou invite à découvrir l’oeuvre de la danoise Sonja Ferlov (1911-1984), épouse de l’artiste sud-africain Ernest Mancoba. Leurs oeuvres sont présentées de manière concomitante dans deux salles distinctes du musée national d’art moderne.
Le Centre Pompidou dévoile les multiples facettes de Dora Maar (1907-1997), trop souvent réduite au rôle de muse de Picasso. Elle-même artiste, elle a développé une carrière de photographe et de peintre, oubliée depuis les années 1950. Une oeuvre à (re)découvrir !
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