Première femme à oser peindre des nus masculins en grand format, Marie-Clémentine Valadon (1865-1938), dite Suzanne Valadon, a révolutionné l’histoire de l’art. Comme l’expose avec brio le Centre Pompidou.
Suzanne VALADON, Portrait de Mauricia Coquiot, 1915. Huile sur toile. Crédit Photo : Centre Pompidou, MNAM CCI/Philippe Migeat/ Dist. Grand-Palais-Rmn
Le musée du quai Branly présente la culture vaudou haïtienne et sa dérangeante pratique – qui hante la culture populaire dans le monde entier – de la zombification. Philippe Charlier, spécialiste du sujet, lui-même initié, nous dévoile les particularités de cette religion née d’un syncrétisme au 16e siècle.
La nouvelle exposition de la Collection Al Thani présente une sélection d’oeuvres principalement extra-européennes regroupées autour de leur couleur. Ces objets d’art précieux et emblématiques vous emmènent loin de la grisaille automnale parisienne !
Le Petit Palais ouvre le troisième volet de sa programmation consacrée aux artistes suédois en présentant l’oeuvre de Bruno Liljefors (après Carl Larsson et Anders Zorn). Son oeuvre est centrée sur la représentation de la nature sauvage suédoise, qu’il interprète en faisant une synthèse du romantisme et du japonisme.
Bruno Liljefors, Paysage d’hiver aux bouvreuils pivoine, 1891. Huile sur toile. Collection privée
Le musée de la BnF, Site Richelieu-Galerie Mazarin, 5 rue Vivienne, Paris 2e
Depuis son ouverture en 2022, le musée de la BnF adopte une nouvelle thématique à chaque rentrée. Cette année, il propose un voyage à travers les continents avec « Le monde pour horizon ». En contrepoint des artéfacts conservés par le musée, l’artiste camerounais Barthélémy Toguo expose des oeuvres qui interrogent l’identité contemporaine aujourd’hui globalisée.
Les appartements restaurés d’Anne d’Autriche au musée du Louvre accueillent une sélection de marbres antiques ayant appartenu aux princes Torlonia, qui ont réuni à ce jour la plus grande collection privée de sculpture antique romaine.
Le Petit Palais met en valeur une cinquantaine d’oeuvres de ses collections, choisies par des athlètes et para-athlètes pour leur lien entre art et sport.
Pour célébrer l’Année franco-chinoise et les 60 ans de relations diplomatiques entre la France et la Chine, le musée Guimet présente une programmation culturelle axée sur les arts de l’Empire du Milieu. Après T’ang Haywen, voici Jiang Qiong Er qui investit plusieurs salles clés du musée, dont sa façade extérieure. À découvrir de jour comme de nuit et au fil des saisons.
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