L’enfant devient un être digne d’attention au XVIIIe siècle. Jean-Baptiste Greuze (1725-1805) exprime dans ses oeuvres toute la luminosité de ces petits êtres chers ! Mais son oeuvre dévoile bien plus que leur innocence.
Jean-Baptiste Greuze, Jeune berger tenant une fleur dit Jeune berger qui tente le sort pour savoir s’il est aimé de sa bergère, 1761. Huile sur toile. Paris, Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris. CCØ Paris Musées / Petit Palais
Le musée Jacquemart André poursuit son exploration des artistes inspirés du caravagisme, avec l’un des grands maîtres français du XVIIe siècle, Georges de La Tour (1593-1652).
Bien que surnommé le « roi de la mode » par les Américains, et considéré comme le libérateur du carcan féminin, Paul Poiret (1879-1944) reste une figure méconnue du grand public. Le Musée des Arts décoratifs lui consacre sa première monographie.
L’Institut du monde arabe cherche les vérités derrière le mythe de Cléopâtre dont l’histoire a préféré retenir une sensualité orientale fantasmée plutôt que l’importance de son rôle politique.
Le musée du quai Branly présente la culture vaudou haïtienne et sa dérangeante pratique – qui hante la culture populaire dans le monde entier – de la zombification. Philippe Charlier, spécialiste du sujet, lui-même initié, nous dévoile les particularités de cette religion née d’un syncrétisme au 16e siècle.
Le Petit Palais ouvre le troisième volet de sa programmation consacrée aux artistes suédois en présentant l’oeuvre de Bruno Liljefors (après Carl Larsson et Anders Zorn). Son oeuvre est centrée sur la représentation de la nature sauvage suédoise, qu’il interprète en faisant une synthèse du romantisme et du japonisme.
Bruno Liljefors, Paysage d’hiver aux bouvreuils pivoine, 1891. Huile sur toile. Collection privée
Le Petit Palais met en valeur une cinquantaine d’oeuvres de ses collections, choisies par des athlètes et para-athlètes pour leur lien entre art et sport.
Pour célébrer l’Année franco-chinoise et les 60 ans de relations diplomatiques entre la France et la Chine, le musée Guimet présente une programmation culturelle axée sur les arts de l’Empire du Milieu. Après T’ang Haywen, voici Jiang Qiong Er qui investit plusieurs salles clés du musée, dont sa façade extérieure. À découvrir de jour comme de nuit et au fil des saisons.
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