Grand Palais, entrée par le square Jean Perrin, Paris 8e
Mickalene Thomas (née en 1971, New York), artiste américaine noire, est exposée pour la première fois au Grand Palais, pour un show plein de love et de paillettes !
Le nouvel espace d’exposition de l’Académie des beaux-arts s’intéresse à l’Art dans la bande-dessinée, avec une présentation de planches originales joliment encadrées dont certaines valent plusieurs milliers d’euros…
Le Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris, ouvre une trilogie autour des savoir-faire de la mode. Cette première partie, consacrée aux techniques de l’ornementation et des différents métiers qui se cachent derrière les créations du XVIIIe siècle à nos jours, dévoile le raffinement de la French touch.
La Fondation EDF organise une série de performances et spectacles au sein de son espace dédié aux arts contemporains et vivants. Cette programmation récurrente à l’automne/hiver invite le public et les artistes à saisir les effets de la lumière électrique, immatérielle par essence.
La Collection Al Thani présente le dernier volet de sa trilogie organisée avec le Victoria & Albert Museum de Londres. Après les trésors du Moyen-Âge et de la Renaissance, voici les somptueux bijoux des cours européennes, chefs-d’oeuvre de fascination intemporelle.
Grand Palais, Entrée Clarence Dillon, 1 avenue Winston Churchill, Paris 8e
Eva Jospin (née en 1975 à Paris) investit l’une des galeries du Grand Palais, pour dévoiler un univers mêlant grotte et forêt, sculptures et tapisseries, architecture et végétal. Fascinant.
Comme toutes les institutions culturelles, le musée Guimet cherche à attirer un public plus jeune. Quoi de mieux que de s’intéresser au phénomène commercial du manga qui a le mérite de s’inspirer de l’art japonais ancien ?
Le musée de l’Homme propose de regarder la mort en face – à l’encontre des coutumes occidentales modernes – à travers la présentation de sa collection de momies, replacée dans son contexte historique et géographique. Une exposition à la fois fascinante et troublante !
En collaboration avec le Musée national du Palais de Taipei (Taïwan), le musée du quai Branly propose une exposition sur la figure légendaire du dragon, né en Chine il y a plus de 5000 ans. En Asie, le dragon incarne le chi, le souffle vital, et assure l’harmonie du cosmos. Une image bien loin de la créature maléfique occidentale !
Philippe Geluck (né en 1954 à Bruxelles) expose son alter ego fictif Le Chat au musée Maillol, dans un parcours qui retrace les débuts de sa carrière jusqu’à sa grande exposition de sculptures sur les Champs-Élysées (2022). On se délecte de son esprit cocasse, parfois (très) percutant sur les sujets d’actualité.
Le musée Cernuschi dévoile un art chinois méconnu : l’estampage ancré. D’abord technique de conservation des textes anciens, il devient méthode de transmission de l’image de bas-reliefs, sculptures, vases rituels, et objet de quête des collectionneurs. Les arts lettrés puis populaires vont s’emparer de cette forme de graphie primitive pour réaliser des créations dignes des collages modernistes.
Liuzhou 六舟 (1791-1858), Chen Geng 陈庚 (actif au XIXème siècle), Liuzhou examinant une lampe en bronze de l’époque Han (détail) 六舟剔灯图横披. Dynastie Qing (1644-1912), 1837. Encre et couleurs sur papier. Musée Provincial du Zhejiang
Le musée du Louvre reconstitue à 70% de la taille réelle le somptueux décor de la voûte du palais Farnèse, siège de l’ambassade de France à Rome, peint par les frères Annibale (1560-1609) et Agostino (1557-1602) Carracci. Grâce à son fonds exceptionnel de dessins préparatoires, dont le musée possède la plus grande collection avec les collections royales britanniques, qui prêtent 25 dessins.
Le Petit Palais présente la première rétrospective parisienne consacrée à l’artiste finlandais Pekka Halonen (1865-1933), venu étudié la peinture à l’huile à Paris (non enseignée dans son pays). Ce qui lancera sa carrière.
Le cabinet des Dessins, Papiers peints et Photographies du Musée des Arts décoratifs (MAD) présente l’oeuvre de Guénaëlle de Carbonnières, artiste-photographe inspirée par les archives et les effets du temps.
Le photographe franco-ivoirien François-Xavier Gbré – lauréat de la première édition du programme Latitudes organisé par la Fondation Henri Cartier-Bresson et la Fondation d’entreprise Hermès – expose son travail sur la piste ferroviaire qui traverse la Côte d’Ivoire du Nord au Sud.
Le Musée des Arts décoratifs (MAD) célèbre les cent ans de l’Exposition Internationale de 1925 qui a fait connaître le style Art déco dans le monde entier. Le parcours dévoile en avant-première un aperçu de la restauration du mythique Orient Express dirigée par Maxime d’Angeac.
Le musée national de la Marine propose une exposition immersive audiovisuelle sur l’un des plus célèbres navigateurs européens : Ferdinand Magellan (v. 1480-1521).
Le musée du Louvre présente une exposition d’ampleur sur le « Père de l’École française », Jacques-Louis David (1748-1825), dont les portraits de Marat assassiné, Napoléon franchissant les Alpes ou le Sacre de l’empereur, sont ancrés dans l’imaginaire collectif.
La maison de la culture du Japon à Paris présente la méthode de travail révolutionnaire d’Isao Takahata, pionnier du dessin animé japonais et co-fondateur du Studio Ghibli. Une exposition très attendue du public.
Le musée Picasso Paris présente l’oeuvre de l’artiste américain Philip Guston, compère de Philip Roth, auquel il répond par des dessins à Our gang. L’exposition met en avant leur goût commun pour la satire, tout comme Picasso.
Le Musée d’Art Moderne de Paris présente la première exposition monographique consacrée à l’artiste nigérienne Otobong Nkanga (née en 1974 à Kano, vit à Anvers). Depuis la fin des années 90, l’artiste se préoccupe d’écologie, des cicatrices laissées sur le corps et le territoire, dans des oeuvres à la fois esthétiques et puissantes.
Otobong Nkanga, Social Consequences V – The Harvest, 2022. Drawing, acrylic and stickers on paper. Collection Wim Waumans. Courtesy de l’artiste
Jeu de Paume, Jardin des Tuileries, 1 place de la Concorde, Paris 1er
Grand photoreporter de guerre dans les années 1990, Luc Delahaye (né en 1962, à Tours) a depuis changé d’appareil pour opter pour un format panoramique qui offre un rendu de « tableau » à ses oeuvres bouleversantes.
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