Paris 1968

Gilles Caron

Jusqu’au 28 juillet 2018

Catalogue de l’exposition : 

Hôtel de Ville, Salle Saint-Jean, 5 rue de Lobau, Paris 4e, Entrée libre

 

Pour continuer sur la célébration du 50e anniversaire de mai 1968, l’Hôtel de Ville présente la première grande exposition parisienne du photographe Gilles Caron (1939-1970). L’auteur, entre autres, de la photographie de D. Cohn-Bendit face à un policier devant la Sorbonne, devenue mythique.

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Les Nuits parisiennes

Les Nuits parisiennes

Du Palais-Royal au Palace

Jusqu’au 27 janvier 2018

Catalogue de l’exposition : 

Hôtel de Ville, Salle Saint-Jean, rue Lobau, Paris 4e. Entrée libre, 10h-18h30, du lundi au samedi.

En cette période festive, l’Hôtel de Ville invite les visiteurs à revivre les célèbres nuits parisiennes de la fin du XVIIIe siècle à nos jours. L’identité d’une ville ne se cantonne pas à ses activités diurnes. Les nuits parisiennes attirent provinciaux et touristes étrangers depuis deux siècles et demi.

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Coluche

Coluche, le 20 février 1986, au Parlement européen (c) Dominique Gutekunst / GAMMA RAPHO« C’est l’histoire d’un mec… »

Jusqu’au 7 janvier 2017

Entrée libre

Catalogue de l’exposition : 

Hôtel de Ville, Salle Saint-Jean, Paris 4e

A l’occasion du 30e anniversaire de la disparition de Coluche, emporté par un « putain de camion » (Renaud), l’Hôtel de Ville lui consacre une exposition. Afin de découvrir qui se cache derrière la personnalité historique préférée des Français (classée 4e derrière Napoléon, Charles de Gaulle, Jeanne d’Arc et devant Louis XIV).

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« Patrimoine culturel, Patrimoine naturel »

(c) Artscape, Paris, 2014#JEP 2014 – L’Hôtel de Ville

Samedi 20 et dimanche 21 septembre 2014

Hôtel de Ville, 3 rue de Lobau, Paris IV

A l’occasion des 31e Journées Européennes du Patrimoine, ne manquez pas l’ouverture exceptionnelle de l’Hôtel de Ville. Autant vous prévenir : 12.000 à 15.000 personnes sont attendues, soit 3h d’attente.. Deux groupes de musiciens seront là pour vous divertir (jazz / musique gitane, musette et chanson française). Pour les moins courageux, profitez-vous d’une visite par proxi !

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Pour l’amour de Paris

Pour l’amour de Paris

Brassaï (1899-1984)

Jusqu’au 8 mars 2014

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Hôtel de Ville, Paris IV, Entrée libre

 

« Avec Brassaï, c’est tout Paris qui s’illumine ». C’est sur ces mots que Bertrand Delanoë présente la dernière exposition de sa deuxième investiture à la mairie de Paris. Avant les prochaines élections municipales (23 et 30 mars 2014)…

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La mode à Paris

La mode à Paris

Paris Haute Couture

Jusqu’au 6 juillet 2013

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Hôtel de Ville, Paris IV, Entrée libre

 

 

La haute couture parisienne reste l’un des rares domaines où l’on ressent une fierté à être Français! Comme le révèle l’exposition organisée par le Musée Galliera (en travaux jusqu’en septembre 2013) à l’Hôtel de Ville.

 

L’exposition « Paris Haute Couture » rassemble une centaine de créations retraçant 150 ans d’histoire de la mode. Olivier Saillard, directeur du musée Galliera depuis 2010 et historien de mode reconnu, en est le commissaire d’exposition.

Charles Frederick Worth est considéré comme le premier grand couturier. En 1858, il ouvre une « maison spéciale de confection », au 7 rue de la Paix. Cette rue va devenir l’emblème de la haute couture. Les grands-parents de Jacques Doucet ouvre leur boutique de lingerie de luxe au numéro 17 ; Paquin au n°3 (1891) ; Boué Soeurs au n°9 (1899). Paul Poiret baptisera la rue de la Paix la « voix sacrée ». Elle bénéficie de la clientèle cosmopolite et fortunée des grands hôtels avoisinants.

L’épicentre de la haute couture se déplace à partir des années 1910 vers les Champs-Elysées, où les élégantes aiment déambuler pour être vues. Madeleine Vionnet quitte la rue de Rivoli pour le 50 avenue Montaigne (1922), les soeurs Boué y émigrent en 1928. Dior s’y établit en 1946. Givenchy ouvre avenue George-V (1959), Yves Saint Laurent choisit l’avenue Marceau (1974). Pierre Cardin s’établit rue du Faubourg Saint-Honoré (1952), tout comme Christian Lacroix (1987).

Seule Chanel reste fidèle à la rue Cambon où elle s’est installée depuis 1910. Sa rivale Elsa Schiaparelli, « L’Italienne qui fait des robes », comme la snobe Coco Chanel, choisit la place Vendôme en 1927.

Aujourd’hui, les créateurs de mode se déplacent vers l’est parisien. Autour du Palais Royal et du Marais (Azzedine Alaïa ouvre rue du Parc-Royal en 1985). Et plus loin encore, dans le Xe arrondissement rue Saint-Martin (J.P. Gaultier),  rue Saint-Maur (Martin Margiela), rue de Cléry (Bouchra Jarra) et boulevard Bonne-Nouvelle (Anne Valérie Hash).

Une vingtaine de maisons travaillent encore dans la haute couture à Paris. Les dernières entrées dans ce cercle très fermé sont Martin Margiela et Alexis Mabille (2012). Une douzaine d’entre-elles forment la Chambre syndicale de la haute couture et répondent à un ensemble de critères, parmi lesquels le travail réalisé à la main, l’unicité des pièces-sur-mesure, le nombre de modèles (il est passé de la centaine de modèles dans les années 1930 à vingt-cinq par saison pour les jeunes couturiers contemporains), la participation aux deux défilés annuels (janvier et juillet), l’utilisation d’une certaine quantité de tissu. Au total, ce sont sept mille six cent entreprises parisiennes qui travaillent pour la mode.

Une exposition pas aussi époustouflante que peuvent l’être celles du musée Galliera (on attend avec impatience sa réouverture avec la rétrospective Alaïa) ou du musée des Arts décoratifs. Mais quelques pièces  retiennent l’attention comme la robe du soir Christian Dior à oeillets noir (collection A/H 1953). Le plus : le décryptage de l’ensemble des métiers qui participent à la confection d’une robe haute couture comme les brodeurs, plumassiers, plisseurs et paruriers floraux. On apprend ainsi que certaines robes peuvent comporter jusqu’à 6.000 euros de fleurs!

En complément, n’hésitez pas à parcourir le catalogue de l’exposition, édité par Skira Flammarion, qui explique comment les maisons de couture parisienne ont engendré l’idée d’exception et d’excellence artistique. Une version luxe de l’ouvrage offre des portfolios photographiques sur un papier mince opaque relié à la japonaise. Une manière de rendre hommage à la splendeur des robes des grands couturiers.

Livre d’art versus exposition

Livre d’art versus exposition

Les Halles de Robert Doisneau par Vladimir Vasak
Editions Flammarion, novembre 2011, 160p., 30€

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A l’occasion du centenaire de la naissance de Robert Doisneau l’Hôtel de Ville de Paris organise une exposition jusqu’au 28 avril 2012 (entrée libre) sur les Halles mitraillées par Doisneau de 1933 à sa mort (1994). Les Editions Flammarion éditent le catalogue de l’exposition, que j’ai largement préféré à l’exposition!

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Un peu de Paris et d’ailleurs

Un peu de Paris et d’ailleurs

Sempé

Jusqu’au 11 février 2012 – Prolongation jusqu’au 31 mars 2012

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Hôtel de Ville 75004, Entrée libre

Aujourd’hui, Sempé est devenu l’un des plus célèbres dessinateurs d’humour français. Pourtant, selon ses propres mots, « le métier de dessinateur d’humour est un métier qui ne donne jamais l’impression d’exister. […] En France, on a toujours le sentiment d’être en surplus dans les journaux. Un dessin d’humour, quand la place est comptée, c’est du luxe ». L’Hôtel de Ville organise sa première rétrospective parisienne. Son oeuvre, à la fois riche et légère, a su toucher toutes les générations. De part et d’autre de l’Atlantique.

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Des anciens quais à Paris Plages

Des anciens quais à Paris Plages

Paris sur Seine

Jusqu’au 17 septembre 2011

Hôtel de Ville de Paris, 75004, Entrée libre

Pour fêter les 10 ans de Paris Plages, l’Hôtel de Ville organise une exposition sur le lien incontournable entre les Parisiens et la Seine. Une histoire qui remonte depuis l’époque gallo-romaine, lorsque Paris s’installe sur l’île de la Cité. L’occasion de visiter la Capitale et de réserver un hôtel à Paris pour aller découvrir cette exposition, surtout en ce moment où les Parisiens désertent leur ville pour aller passer leurs vacances sur la côte.

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L’Hôtel de Ville reçoit les chefs-d’oeuvre d’Orsay

L’Hôtel de Ville reçoit les chefs-d’oeuvre d’Orsay

Paris au temps des Impressionnistes

Jusqu’au 30 juillet 2011

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Hôtel de Ville, salle saint Jean 75004, Entrée libre

En cours de rénovation, le musée d’Orsay prête une partie de ses chefs-d’oeuvre impressionnistes à l’Hôtel de Ville de Paris. L’occasion de sortir quelques toiles inédites des réserves et de rendre hommage à Manet, dont les projets de décors pour l’Hôtel de Ville avait été refusés.

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La femme au monocle

La femme au monocle

Andrée Putman, Ambassadrice du style
Sous la direction d’Eric Troncy, Skira Flammarion, 120p., 22,90€ [amazon_link id= »2081246341″ target= »_blank » ]ACHETEZ CE LIVRE SUR AMAZON.FR[/amazon_link]

Alors que l’exposition Andrée Putman à l’Hôtel de Ville de Paris bat son plein (prolongée jusqu’au 26 février 2011), Skira Flammarion publie sous la direction du commissaire de l’exposition, Eric Troncy, un livre d’art consacrée à la grande dame du design contemporain.

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Après Ronis et Doisneau, le Paris d’Izis

Après Ronis et Doisneau, le Paris d’Izis

Métro Mirabeau, 6h du matin, 1949 (c) Izis BidermanasIzis, Paris des rêves

Jusqu’au 29 mai 2010

Hôtel de Ville, 5, rue Lobineau 75004, Entrée libre

L’oublié du mouvement des humanistes. Izraëlis Bidermanas (1911-1980), dit Izis faisait partie des Five French Photographers exposés au MoMA, New York, en 1951, avec Brassaï, Doisneau, Ronis et Cartier-Bresson. Pourtant, contrairement à ses confrères, le nom d’Izis a été oublié de la postérité. Avec l’aide de son fils, Manuel Bidermanas, la Mairie de Paris souhaite raviver les mémoires et rendre hommage à ce Lituanien qui a élu Paris comme terre d’asile. Et a su contribuer par son art à faire de la capitale une ville de Lumière, une cité des rêves.

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L’art multiforme de Jacques Prévert

L’art multiforme de Jacques Prévert

Photo d'exploitation mise en couleurs du film Les Enfants du paradis, réalisé par Marcel Carné avec Jean-Louis Barrault, Arletty et Etienne Decroux, scénario et dialogues de Jacques Prévert. Roger Forster / Fondation Jérôme Seydoux-Pathé (c) Adagp, Paris 2008 / Pathé ProductionJacques Prévert – Paris la belle

Jusqu’au 28 février 2009

Hôtel de Ville, Salle Saint-Jean, 5, rue Lobau 75004, Entrée libre (visite guidée gratuite tous les jeudis à 11h pour les adultes, réservation: 01 42 76 51 53)

Artiste pluridisciplinaire, Jacques Prévert (1900-1977) est célèbre pour ses poèmes des rues de Paris, ses chansons, ses pièces de théâtre et ses films. Moins connus sont ses collages, prolongement de son écriture imagée, et ses textes qui accompagnent les clichés des plus grands photographes. L’exposition de l’Hôtel de Ville dédiée à Jacques Prévert nous fait découvrir tous les aspects de cette oeuvre protéiforme, qui honore Paris.

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Souvenirs souvenirs… la Princesse de Monaco

Souvenirs souvenirs… la Princesse de Monaco

27 mai 1966. Atrium du Casino. Bal du centenaire. La Princesse Grace et le Prince Rainier (c) Archives - SBM MonacoLes années Grace Kelly, Princesse de Monaco

Jusqu’au 16 août 2008

Salle Saint-Jean de l’Hôtel de Ville, 5, rue Lobau 75004, Entrée libre

La Princesse de Monaco, comme vous n’auriez jamais pu l’approcher d’aussi près. L’exposition hommage à Grace Kelly, inaugurée au Grimaldi Forum Monaco (été 2007) arrive à l’Hôtel de Ville de Paris. L’exposition livre au public les multiples jardins privés de la Princesse. De sa robe de mariage aux films familiaux qu’elle réalisait elle-même, de ses bijoux royaux à sa correspondance avec son mentor Alfred Hitchcock… Les yeux ne savent plus où donner du regard tant les souvenirs exposés sont prolixes. Pour révéler une image, certes glamour de l’actrice hollywoodienne, mais surtout incarner un engagement modèle auprès des siens.

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Paris sous les feux de la photographie couleur

Paris sous les feux de la photographie couleur

Affiche de l'exposition Paris en couleurs, à l'Hôtel de Ville de Paris jusqu'au 31 mars 2008. Photographie: Robert CAPA (c) 2001 by Cornell Capa / Magnum PhotosParis en couleurs, des frères Lumière à Martin Parr

Jusqu’au 31 mars 2008

Hôtel de Ville, salle Saint-Jean, 5, rue Lobau 75004, entrée libre.

L’Hôtel de Ville propose une exposition chatoyante sur les photographies en couleur de Paris, prises entre 1907 à nos jours. Ces témoignages artistiques des transformations urbaines de la capitale bouleversent l’imaginaire nostalgique lié aux photographies en noir et blanc, habituellement associées au Paris d’après-guerre.

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Hommage éclatant à une femme de paillettes: Dalida

Hommage éclatant à une femme de paillettes: Dalida

Mention légale: D.R.Dalida, une vie…

Jusqu’au 8 septembre 2007

Hôtel de Ville, salle Saint-Jean, 5 rue Lobau 75004, entrée libre

Première exposition sur Dalida (1933-1987), femme mythique dont la vie fut traversée d’autant de succès que de tragédies, l’exposition à l’Hôtel de Ville de Paris « Dalida, une vie… » revêt en fait trois facettes. Dalida et la chanson, Dalida et la mode, Dalida et le cinéma. Pour mieux révéler la complexité du personnage derrière le strass d’une carrière flamboyante.

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Cabu croque Paris, sa ville d’adoption depuis 50 ans

Affiche Exposition - (c) CABUCabu et Paris

Hôtel de Ville, Salon d’accueil, 29 rue de Rivoli 75004
Prolongée jusqu’au 27 mars 2007
Exposition gratuite

Pour la première fois, Cabu a l’honneur de voir exposer son oeuvre à l’Hôtel de Ville, depuis ses premiers croquis dans l’Union de Reims aux dessins politiques du Canard Enchaîné, et ses reportages dans Charlie Hebdo, en passant par le personnage du Beauf (Hara-Kiri, lancé par François Cavanna). 50 ans de croquis acides – témoignages tant des comportements politiques et sociaux contemporains que de la mouvance de l’architecture parisienne.

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