Comme toutes les institutions culturelles, le musée Guimet cherche à attirer un public plus jeune. Quoi de mieux que de s’intéresser au phénomène commercial du manga qui a le mérite de s’inspirer de l’art japonais ancien ?
Le musée de l’Homme propose de regarder la mort en face – à l’encontre des coutumes occidentales modernes – à travers la présentation de sa collection de momies, replacée dans son contexte historique et géographique. Une exposition à la fois fascinante et troublante !
En collaboration avec le Musée national du Palais de Taipei (Taïwan), le musée du quai Branly propose une exposition sur la figure légendaire du dragon, né en Chine il y a plus de 5000 ans. En Asie, le dragon incarne le chi, le souffle vital, et assure l’harmonie du cosmos. Une image bien loin de la créature maléfique occidentale !
Philippe Geluck (né en 1954 à Bruxelles) expose son alter ego fictif Le Chat au musée Maillol, dans un parcours qui retrace les débuts de sa carrière jusqu’à sa grande exposition de sculptures sur les Champs-Élysées (2022). On se délecte de son esprit cocasse, parfois (très) percutant sur les sujets d’actualité.
Le musée Cernuschi dévoile un art chinois méconnu : l’estampage ancré. D’abord technique de conservation des textes anciens, il devient méthode de transmission de l’image de bas-reliefs, sculptures, vases rituels, et objet de quête des collectionneurs. Les arts lettrés puis populaires vont s’emparer de cette forme de graphie primitive pour réaliser des créations dignes des collages modernistes.
Liuzhou 六舟 (1791-1858), Chen Geng 陈庚 (actif au XIXème siècle), Liuzhou examinant une lampe en bronze de l’époque Han (détail) 六舟剔灯图横披. Dynastie Qing (1644-1912), 1837. Encre et couleurs sur papier. Musée Provincial du Zhejiang
Le musée du Louvre reconstitue à 70% de la taille réelle le somptueux décor de la voûte du palais Farnèse, siège de l’ambassade de France à Rome, peint par les frères Annibale (1560-1609) et Agostino (1557-1602) Carracci. Grâce à son fonds exceptionnel de dessins préparatoires, dont le musée possède la plus grande collection avec les collections royales britanniques, qui prêtent 25 dessins.
Le Petit Palais présente la première rétrospective parisienne consacrée à l’artiste finlandais Pekka Halonen (1865-1933), venu étudié la peinture à l’huile à Paris (non enseignée dans son pays). Ce qui lancera sa carrière.
Le cabinet des Dessins, Papiers peints et Photographies du Musée des Arts décoratifs (MAD) présente l’oeuvre de Guénaëlle de Carbonnières, artiste-photographe inspirée par les archives et les effets du temps.
Le Musée des Arts décoratifs (MAD) célèbre les cent ans de l’Exposition Internationale de 1925 qui a fait connaître le style Art déco dans le monde entier. Le parcours dévoile en avant-première un aperçu de la restauration du mythique Orient Express dirigée par Maxime d’Angeac.
Le musée national de la Marine propose une exposition immersive audiovisuelle sur l’un des plus célèbres navigateurs européens : Ferdinand Magellan (v. 1480-1521).
Le musée du Louvre présente une exposition d’ampleur sur le « Père de l’École française », Jacques-Louis David (1748-1825), dont les portraits de Marat assassiné, Napoléon franchissant les Alpes ou le Sacre de l’empereur, sont ancrés dans l’imaginaire collectif.
La maison de la culture du Japon à Paris présente la méthode de travail révolutionnaire d’Isao Takahata, pionnier du dessin animé japonais et co-fondateur du Studio Ghibli. Une exposition très attendue du public.
Le musée Picasso Paris présente l’oeuvre de l’artiste américain Philip Guston, compère de Philip Roth, auquel il répond par des dessins à Our gang. L’exposition met en avant leur goût commun pour la satire, tout comme Picasso.
Le Musée d’Art Moderne de Paris présente la première exposition monographique consacrée à l’artiste nigérienne Otobong Nkanga (née en 1974 à Kano, vit à Anvers). Depuis la fin des années 90, l’artiste se préoccupe d’écologie, des cicatrices laissées sur le corps et le territoire, dans des oeuvres à la fois esthétiques et puissantes.
Otobong Nkanga, Social Consequences V – The Harvest, 2022. Drawing, acrylic and stickers on paper. Collection Wim Waumans. Courtesy de l’artiste
Le musée Marmottan Monet s’intéresse aux différents visages du sommeil, qui occupe un tiers de notre existence, et a fasciné les artistes depuis l’Antiquité.
Le musée de l’Orangerie met à l’honneur Berthe Weill (1865-1951), une galeriste méconnue du public, qui a pourtant soutenu des grands noms comme Picasso, Matisse, Dufy, Rivera, Modigliani… L’intérêt de l’exposition réside dans la découverte d’oeuvres inconnues de grands maîtres et de noms aujourd’hui oubliés comme Emilie Charmy ou Pierre Girieud.
Le musée Carnavalet s’intéresse à l’évolution de la population parisienne entre les-deux-guerres grâce à l’étude de trois recensements (1926,1931, 1936). Sous un angle scientifique et artistique, l’exposition apporte un nouveau regard sur nos prédécesseurs, venus des quatre coins du monde.
Ce beau livre présente plus de cent oeuvres et 60 artistes avec des reproductions en pleine page et quelques paragraphes explicatifs pour une première introduction à l’art auprès des enfants.
La nouvelle exposition du musée du quai Branly va à l’encontre des préjugés que nous avons sur les Indiens d’Amazonie, leur culture et leur habitat. Avec des oeuvres magnifiques, ancestrales et contemporaines.
Artiste anglophone renommé de la Belle Époque, John Singer Sargent (1856-1925) se fait connaître pour ses portraits de l’intelligentsia parisienne jusqu’au scandale de celui de Madame X, qui le conduira à se réfugier à Londres. Le parcours réunit les chefs-d’oeuvres de son audacieuse carrière.
Le musée du Luxembourg expose les peintures sur papier de Pierre Soulages (1919-2022), pratique qu’il a exercé presque tout au long de sa carrière, jusqu’au début des années 2000. Ce sont ses tracés au brou de noix qui vont contribuer à le faire connaître dans les années 1950.
Pierre Soulages, Brou de noix marouflé sur toile. Collection C.S. (c) Adagp, Paris, 2025 / Photo Vincent Cunillère
L’enfant devient un être digne d’attention au XVIIIe siècle. Jean-Baptiste Greuze (1725-1805) exprime dans ses oeuvres toute la luminosité de ces petits êtres chers ! Mais son oeuvre dévoile bien plus que leur innocence.
Jean-Baptiste Greuze, Jeune berger tenant une fleur dit Jeune berger qui tente le sort pour savoir s’il est aimé de sa bergère, 1761. Huile sur toile. Paris, Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris. CCØ Paris Musées / Petit Palais
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