Pour célébrer la Saison Brésil-France 2025, la Maison de l’Amérique latine convie près de 15 artistes contemporains à relire les images du peintre français Jean-Baptiste Debret (1768-1848), qui a vécu au Brésil entre 1815 et 1830.
Denilson Baniwa, Arqueiro digital [Archer digital], 2017. Infogravure. Courtesie de l’artiste
Pour célébrer le centenaire de la mort de l’explorateur français Louis Delaporte (1842-1925), le musée Guimet ouvre une grande exposition sur la statuaire en bronze du site d’Angkor, révélé aux Français par Delaporte.
Vishnou couché du Mébon occidental, 9e siècle (c) Photographie d’archive de l’EFEO
Le musée du quai Branly propose une exposition passionnante sur la mission Dakar-Dijoubi (1931-1933), pierre fondatrice de l’ethnologie en France, pour apporter un nouveau regard sur les milliers d’objets rapportés des États africains colonisés par l’Europe. Le focus se porte – attention ça va piquer – sur la nature de leur acquisition…
Après le succès de l’exposition immersive du Petit Prince aux Bassins des Lumières à Bordeaux, l’Atelier des Lumières reprend le flambeau en ajoutant pour la toute première fois une voix off, qui permet de plonger dans la poésie des mots d’Antoine de Saint Exupéry (1900-1944).
Le Jeu de Paume propose une exposition inédite sur les liens entre l’Intelligence Artificielle (IA) et l’art contemporain. De l’IA analytique (systèmes de reconnaissance faciale) à l’IA générative (création de contenus visuels et sonores), le parcours qui étonne, enchante, voire effraie, explore les bouleversements qu’apporte l’IA à notre rapport au monde.
Le musée Marmottan présente la collection de Yann Guyonvarc’h, industriel français qui a rassemblé un fonds unique consacré à Eugène Boudin (1824-1898), père de l’impressionnisme, et dont Monet ne cessera de répéter : « Je dois tout à Eugène Boudin ».
Le Musée d’Art Moderne de Paris présente deux expositions inédites, l’une sur l’importante représentante de l’expressionnisme allemand Gabriele Münter (1877-1962), l’autre sur la relation fructueuse entre Henri Matisse et sa fille Marguerite. Un double choc esthétique.
Jardin des Tuileries, entrée face à la rue de Castiglione, Paris 1er
Pour sa 27e édition, PAD Paris excelle toujours autant à exposer des oeuvres de design et des bijoux anciens remarquables. Sa dimension humaine – loin du « gavage » d’oeuvres d’art, et sa localisation le long du jardin des Tuileries, lui confère une aura supplémentaire.
Le Petit Palais sort de ses réserves des dessins de bijoux et quelques pièces de haute joaillerie pour mettre en valeur son fonds d’art graphique, autour de la thématique des techniques de création à partir du milieu du XIXe siècle.
Le musée de Cluny – musée national du Moyen Âge présente des oeuvres contemporaines inspirées de l’art médiéval dans un dialogue pertinent entre passé et présent.
La 18e édition de Drawing Now Paris expose 71 galeries au Carreau du Temple qui interrogent la contemporanéité du dessin. Du crayon graphite au stylo bille, de l’aquarelle à la tapisserie, ce Salon brouille ou plutôt ouvre les frontières de ce médium universel vers de nouveaux horizons.
Le Collège des Bernardins expose 14 tapisseries tissées à Aubusson issues de quatre séries d’ouvrages du célèbre poète britannique J.R.R. Tolkien (1892-1973). C’est la première fois que les tentures quittent la Cité Internationale de la Tapisserie située dans la Creuse.
À la cour de Rodolphe II (1552-1612), empereur du Saint-Empire romain-germanique (1576-1612), sciences et arts se côtoient, s’observent, s’émulent. Prague devient une capitale culturelle foisonnante qui attire les savants du monde entier. Les objets d’une extrême beauté et grande technicité sont exposés dans la galerie Richelieu du musée du Louvre.
Le musée Jacquemart-André présente les oeuvres d’Artemisia Gentileschi (1593-1656), fille d’Orazio Lomi Gentilschi (1563-1639), qui suit les pas de son père dans l’atelier avant de prendre son indépendance. Si elle n’est pas l’unique femme peintre à Rome à son époque, elle est la seule à s’aventurer dans la peinture d’Histoire, genre traditionnellement réservé aux hommes.
Le musée du Luxembourg confronte les oeuvres de Fernand Léger (1881-1955), pionnier de l’art moderne, avec celles des Nouveaux Réalistes qui revisitent la représentation plastique du réel. L’occasion de découvrir les oeuvres du musée national Fernand Léger, Biot qui ferme pour travaux, et celles du Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain de Nice (MAMAC).
Deux nouveautés occupent les galeries côté Tuileries du musée des Arts décoratifs : l’ouverture d’un petit cabinet extra mignon consacré aux dessins, papiers peints et photographies avec un focus sur le décorateur Jacques-Émile Ruhlmann. Et une exposition sur le style Rococo, caractéristique du début du XVIIIe, qui a été re-interprété de l’Art nouveau à nos jours avec des créations originales de Jean Royère, Mathieu Lehanneur, Vivienne Westwood, Cindy Sherman ou encore Pierre Renart.
Alors que les années 50 se détournent de la représentation du corps, le collectionneur F. Pinault continue de s’y intéresser et rassemble un corpus significatif que nous dévoile la nouvelle exposition de la Bourse de Commerce.
L’Atelier des Lumières nous surprend encore par l’ingéniosité de sa scénographie en sons et lumières, mise au service ici de Picasso et du Douanier Rousseau. Un programme d’une heure d’émerveillement et de battements des pieds !
Le musée du quai Branly présente l’histoire millénaire de l’or, depuis sa projection dans la galaxie à son utilisation par l’homme dans les arts du textile. Les oeuvres sont mises en résonance avec les créations contemporaines de la designer chinoise Guo Pei. Absolument fascinant du début à la fin du parcours.
Pour cette seconde édition du Festival des nouvelles images organisé par le Jeu de Paume, la thématique évoque les enjeux climatiques à travers un récit collectif et pluridisciplinaire.
Si je vous dis wax, vous pensez aussitôt pagne africain ? En réalité, ce morceau de coton coloré aux motifs codés est une adaptation du batik indonésien commercialisé par les Européens. Le musée de l’Homme propose de revenir sur l’histoire et les enjeux contemporains de ce tissu, vieux de plus de 120 ans, à la croisée de l’Asie, de l’Europe, et de l’Afrique.
En avant-première de la saison culturelle France-Brésil (début officiel au mois d’avril), la Maison de l’Amérique latine invite l’artiste Cristina Barroso (née en 1958 à São Paulo) pour sa première exposition personnelle en France.
Cristina Barroso, détail de la série Nativos – Photo : Suzanne Nagy
Rejoignez la communauté Artscape! Plus de 10 000 inscrits, zero spam.
Toutes nos actualités culturelles et idées de sorties, directement dans votre boîte mail ✉️
En poursuivant votre navigation, vous acceptez l'utilisation des cookies. Fermer
Privacy & Cookies Policy
Privacy Overview
This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. You also have the option to opt-out of these cookies. But opting out of some of these cookies may affect your browsing experience.
Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. This category only includes cookies that ensures basic functionalities and security features of the website. These cookies do not store any personal information.
Any cookies that may not be particularly necessary for the website to function and is used specifically to collect user personal data via analytics, ads, other embedded contents are termed as non-necessary cookies. It is mandatory to procure user consent prior to running these cookies on your website.